jeudi 12 avril 2007

Un homme à genoux, un candidat debout

A la rencontre de Philippe de Villiers le lendemain de son meeting à Lyon, j'ai pu comprendre par moi-même la souffrance qui l'accompagne, et dont son entourage me parlait. Selon ses propres mots, il "marche la plaie ouverte". Car la manipulation autour de son fils le hante, comme elle hanterait n'importe quel père aimant.

C'est un homme brisé depuis maintenant 6 mois, mais qui continue sa campagne pour la France. Le père de famille est à genoux, mais l'homme public continue son combat. La sensibilité est une qualité primordiale pour gouverner avec justesse.

Voila la méthode trouvée par les barbouzes pour empêcher Villiers de porter son message: s'en prendre à sa famille. C'est celui qui n'a jamais exposé sa famille au grand jour, à l'inverse de tous les autres, qui est poignardé le plus fort. Pire, sans éprouver aucune compassion pour sa détresse, on le traite de pédophile.

En 1991 on a voulu le faire taire dans son combat contre la corruption en lui accolant le titre de Vicomte et en le raillant, avec un racisme dégoûtant, sur ses origines familiales. En 2006 on manipule son fils. Mais rien n'arrête celui qui chérit la France comme Villiers la chérit.

Espérons trouver les commanditaires de cette ignominie, le plus grand scandale de cette élection présidentielle, passé sous silence.

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